En tant que femme, en couple ou célibataire, maman d’un ou plusieurs enfants, on a tendance à vouloir que tout soit parfait (sans que personne ne nous demande quoi que ce soit d’ailleurs).

Cette auto-pression nous épuise à faire toujours plus, encore et encore, parfois pour les autres, même au travail, jusqu’à ce que ce soit parfait.

La conséquence c’est que l’on a tendance à s’oublier et les symptômes d’épuisement physiques et mentaux viennent nous rattraper.

Alors en ce mois de janvier on en profite pour se faire une petite promesse : celle de prendre du temps pour soi et se définir comme étant au centre de ses propres priorités.

1. ARRETER DE VOULOIR QUE TOUT SOIT PARFAIT, TOUT DE SUITE, MAINTENANT

Ah le perfectionnisme ! Il faut que le travail soit fait d’une certaine manière, l’assiette et la table dressés comme ceci, la maison rangée comme cela. STOP. On apprend à lâcher-prise et on accepte que tout ne peut pas être tout le temps parfait. De temps en temps, on apprend à lâcher et à se dire que la vie continue si les choses sont faites d’une différente manière.

2. APPRENDRE A DELEGUER

Quand on est perfectionniste, on a du mal à déléguer ! Dur, dur de ne pas regarder du coin de l’oeil ce que fait l’autre et on devient vite agacé si ce n’est pas fait à notre manière.

Et pourtant, la clef est là.
Identifiez les tâches qui vous demandent beaucoup de temps et d’énergie « négative » et essayez de les déléguer ou d’y optimiser le temps passé.

Par exemple, le repassage vous barbe ? Une fois par mois, optez pour une aide ménagère.
Cuisinez ne vous intéresse pas, essayez de cuisiner à l’avance pour plusieurs jours. 

Au travail, essayez de réfléchir à des actions qui vous permettront d’être plus efficaces sur les missions rébarbatives comme réfléchir à des process d’organisation ou d’automatisation.

Attention, nous ne recommandons pas  » de refiler des tâches ingrates » à d’autres collègues mais recomandons d’essayer d’identifier avec son manager ce qui peut être source de montée en compétences pour d’autres. 

En fait, on essaye le message c’est de ne pas subir la situation mais d’essayer d’y trouver des solutions pour mieux gérer la situation.

3. SE FAIRE AIDER

Celui-ci ressemble au point numéro 2 mais toute la différence est d’apprendre à demander de l’aide.

Cela passe par :

– d’abord savoir s’écouter
– identifier quand est-ce que l’on commence à être au bout du rouleau
– formaliser ce que l’on ressent
– demander de l’aide
– lâcher-prise 

On met de côté notre syndrome Wonderwoman (celui qui nous pousse à tout faire soi-même) et on apprend à dire « HELP. Là je ne m’en sors pas, peux-tu gérer telle ou telle action ? »

4. PRENDRE DU TEMPS POUR SOI

Les actions précédentes n’ont qu’un seul objectif : vous permettre de prendre du temps pour vous.

Qu’est-ce que ça signifie : « prendre du temps pour soi »?

Prendre du temps pour soi c’est se bloquer un rendez-vous avec soi-même. Même si on n’a rien de prévu et que l’on nous sollicite, on répond que l’on n’est pas disponible et on profite de ce temps pour faire une action qui nous fait du bien :

– Un bain chaud
– Une manucure
– Un bon massage
– Une balade en forêt
– La lecture d’un livre
– Ue routine sportive

Si à la maison, les enfants nous empêchent de respirer, on en profite pour déléguer la garde quelques heures au conjoint, à mamie, à un ami sympa qui voudrait bien les emmener au parc quelques heures.

Alors dites-nous en commentaires, quelles actions aimez-vous entreprendre pour prendre soin de vous ? 

Est-ce que cet article vous a plu ?